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Propagande contemporain
Le désordre de l’information
Aborder les privilèges et la diversité dans les médias
Responsabilité dans les médias sociaux
Identifier les fausses nouvelles, la vérification des médias sociaux et la vérification des faits
Responsabilité des médias sociaux
Illustration de vector juice sur freepik
De nos jours, les médias sociaux sont utilisés partout dans le monde, pour n’importe quoi et dans de nombreux domaines ; on peut donc dire que les médias sociaux sont un outil à multiples facettes. Les médias sociaux ont complètement transformé notre façon de communiquer et de partager des informations, qu’elles soient personnelles ou publiques. Ils ont rendu plus facile que jamais la connexion avec les autres, l’échange d’idées et la diffusion d’informations à travers le monde en un instant. Aujourd’hui, il existe de nombreux réseaux sociaux, chacun servant des objectifs différents. Les médias sociaux permettent non seulement de communiquer et de partager des informations, mais aussi de soutenir les entreprises et le marketing, de rendre l’éducation plus accessible, de promouvoir des causes sociales et de fournir des mises à jour en cas d’urgence. Leur influence sur la société moderne est vaste, façonnant en profondeur de nombreux aspects de la vie quotidienne et des interactions mondiales.
Cependant, les médias sociaux peuvent devenir nuisibles lorsqu’ils sont mal utilisés. Ils présentent des risques importants, en particulier pour les jeunes, comme la diffusion d’informations incorrectes ou trompeuses qui peuvent fausser leur opinion sur des sujets sensibles tels que la religion, la politique et l’économie. Cette question relève des activités de MDM (Més-, Dés-, et Mal-information), qui recouvrent trois réalités principales :
- Désinformation: La diffusion intentionnelle de fausses informations dans le but d’induire en erreur ou de manipuler un public.
- Mésinformation: Le partage d’informations fausses ou inexactes sans intention de nuire.
- Mal-information: Informations basées sur la vérité mais exagérées ou utilisées hors contexte pour nuire à une personne, une organisation ou un pays.
En outre, le terme “fake news” fait référence à des informations fausses ou trompeuses présentées comme des nouvelles légitimes. Les fausses nouvelles peuvent être créées délibérément (désinformation) ou partagées involontairement (mésinformation), ce qui complique encore la façon dont nous naviguons dans l’information en ligne.
Bien que ces termes se rapportent tous à la diffusion d’informations trompeuses ou nuisibles, ils diffèrent par l’intention et la nature du contenu partagé. Ce qui les unit, cependant, c’est leur impact sur les gens. Les fausses nouvelles sont devenues un problème de société important, entraînant une perte de confiance dans les institutions, les médias et le public. Cela contribue à une société plus polarisée et plus méfiante, ce qui se traduit par des décisions mal informées et des comportements à risque. Pour réduire ces dangers, il est important que nous comprenions tous comment utiliser les réseaux sociaux de manière responsable, ce que nous pouvons faire en partageant les meilleures pratiques.
Pour bien comprendre les médias sociaux et leurs dangers, en particulier les “fake news”, il est essentiel de faire la distinction entre les faits et les fausses informations. Pour être vigilant sur les médias sociaux, il faut prendre l’habitude de s’interroger sur l’intention, la nature et la fiabilité des informations partagées.
Par équipe de quatre ou cinq, vous aurez pour mission d’identifier les “fake news” à partir d’images, d’articles et de posts sur un compte Facebook créé à l’avance. Chaque équipe choisira un article ou un message à analyser à partir d’une liste fournie par le modérateur. Vous disposerez de quelques minutes pour lire le contenu et déterminer si vous pensez que l’information est vraie ou fausse, en notant votre analyse sur papier. Ensuite, vous utiliserez des sites web de vérification des faits et des sources fiables pour vérifier l’exactitude du contenu et déterminer s’il s’agit d’une “fake news” ou d’un fait réel.
Chaque équipe présentera ensuite ses conclusions aux autres groupes, en expliquant pourquoi elle a conclu que le contenu était vrai ou faux et en partageant les preuves qu’elle a trouvées. Les autres équipes feront de même et, pendant les présentations, chacun pourra poser des questions ou demander des éclaircissements. Un modérateur évaluera les compétences analytiques de chaque équipe et attribuera des points en fonction de la qualité de l’analyse, de l’utilisation de sources fiables et de la clarté de la présentation. En apprenant à repérer les fausses nouvelles, les participants deviendront des consommateurs d’informations plus informés et plus responsables.
En guise de suivi, votre équipe créera une charte de bonnes pratiques sous la forme d’une affiche, décrivant les étapes pour évaluer la fiabilité des informations trouvées sur les plateformes de médias sociaux. Cette charte visera à réduire l’impact des “fake news” et à promouvoir un environnement en ligne plus fiable et transparent, où les informations sont partagées de manière responsable et critique. Elle peut être utilisée dans les écoles, les organisations et les communautés en ligne pour encourager une utilisation responsable des médias sociaux.
ETAPE 1 : ANALYSES
Avant de se lancer dans l’analyse, votre équipe devra choisir le type de contenu médiatique qu’elle souhaite examiner. Vous avez le choix entre plusieurs options, comme un post Facebook, un tweet de célébrité, un article de presse ou un message WhatsApp, couvrant différents sujets tels que la politique, la santé ou l’actualité des célébrités. Cette variété vous permettra d’explorer différents types de médias et de vous entraîner à identifier les fausses nouvelles sur plusieurs plateformes.
Voici quelques nouvelles que vous pouvez choisir d’analyser :
- Alerte gouvernementale annonçant une menace pour le territoire, telle qu’une tempête accompagnée d’inondations. (exemple ici: https://www.manche.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Prevention-securite-des-personnes-et-des-biens/Alerte-des-populations/Alerte-meteorologique-et-qualite-de-l-air/Consignes-de-comportement/)
- Un post Facebook affirmant que boire du jus de citron peut guérir le COVID-19. (Message illustrant cet article : https://www.aap.com.au/factcheck/covid-hot-tea-cure-of-lemon-and-bicarb-doesnt-hold-water/)
- Un tweet d’une célébrité annonçant faussement la mort d’une autre célébrité.( faux tweet de Bob Dylan annonçant la mort de Britney Spears illustrant cet article : https://thenextweb.com/news/britney-spears-falls-victim-cruel-twitter-death-hoax)
- Un article du Monde annonçant le vainqueur d’une élection présidentielle après le dépouillement des bulletins de vote. (exemple ici: https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/04/elections-en-inde-une-victoire-sans-triomphe-pour-modi_6237204_3210.html )
- Un article affirmant que le changement climatique est causé par l’armée américaine. (exemple d’article sur les fausses idées diffusées par les politiciens : https://www.climatechangenews.com/2016/07/19/indian-minister-links-us-military-to-global-warming/)
- Le compte Instagram officiel de la famille royale britannique annonçant le décès de la reine Élisabeth II. (disponible ici: https://www.instagram.com/theroyalfamily/p/CiQRGH8syK5/)
- Un message WhatsApp diffusant une théorie du complot sur les vaccins . (exemple en illustration de cet article: https://www.bfmtv.com/tech/culture-web/coronavirus-attention-aux-messages-envoyes-sur-whats-app-prodiguant-des-conseils-pour-eviter-le-virus_AN-202003150110.html)
Une fois que vous avez fait votre choix, vous pouvez commencer par évaluer de manière critique l’information, la source et l’auteur. Lorsqu’il s’agit d’informations douteuses, il est essentiel de poser une série de questions critiques pour évaluer la crédibilité et l’exactitude du contenu, afin de lutter contre la propagation des “fake news” (fausses nouvelles). Pour aider votre équipe dans ce processus, vous disposerez d’une série de questions directrices et de liens utiles à explorer au cours de votre analyse. Ils serviront de cadre pour approfondir votre compréhension et évaluer la fiabilité du contenu que vous étudiez :
- S’agit-il d’une source connue et fiable ?
- Le titre est-il le moindrement sensationnel ?
- Y a-t-il des citations, des données, des études ou des liens qui permettraient de vérifier les faits indiqués ?
- Les images ou les vidéos ont-elles l’air authentiques ?
- Y a-t-il des partis pris ou des conflits d’intérêts ?
- Quel est l’objectif ou l’intention qui se cache derrière le contenu ?
Vous pouvez consulter les sites suivants pour obtenir des conseils et des astuces sur la manière d’identifier les fausses nouvelles dans les médias :
Discutez de ces questions avec vos coéquipiers en créant un nuage de mots qui met en évidence les indices clés de votre analyse. Cela vous aidera à organiser visuellement les principaux points à prendre en compte pour déterminer si les informations contenues dans votre document sont des faits réels ou des “fake news”. En regroupant vos idées dans le nuage de mots, vous serez en mesure d’identifier des schémas ou des signaux d’alerte qui suggèrent une désinformation et de prendre une décision collective sur la crédibilité du contenu. En collaborant de cette manière, vous vous assurez que tout le monde contribue à l’évaluation et vous aidez à aiguiser l’esprit critique de votre équipe.
ETAPE DEUX : Vérification des faits
Une fois que votre équipe a terminé l’analyse initiale du document, il est important de vérifier les faits et de s’assurer que les informations que vous avez l’intention de partager sont exactes. Pour ce faire, l’utilisation d’un site web de vérification des faits est cruciale. Les sites de vérification des faits sont des outils clés dans la lutte contre la propagation de la désinformation, car ils fournissent une vérification indépendante et approfondie des faits. En utilisant ces plateformes, vous pouvez aider à repérer les fausses nouvelles et confirmer l’exactitude des informations sur des sujets tels que la religion, la santé et la politique.
Prendre le temps de vérifier les faits permet non seulement de promouvoir la vérité, mais aussi de maintenir la confiance, de renforcer la crédibilité des médias, d’éduquer le public et de contribuer à un environnement d’information plus sain et mieux informé. Pour confirmer que les résultats obtenus par votre équipe lors de la première étape sont corrects, prenez le temps d’explorer les sites web de vérification des faits proposés dans les liens ci-dessous. Ces ressources vous aideront à recouper les informations et à valider vos conclusions.
Si vous ne pouvez pas utiliser les outils de vérification des faits parce que l’information n’a pas encore été vérifiée, votre équipe peut devenir votre propre vérificateur de faits ! Il peut être facile de vérifier soi-même une information en trouvant d’autres sources indépendantes de médias reconnus qui confirment l’information, ou de vérifier que l’information est actuelle. Endossez donc le rôle de fact-checker et vérifiez le document que vous avez choisi en suivant les tutoriels ci-dessous :
ETAPE TROIS : La présentation aux autres participants
Chaque équipe présentera ses résultats, en expliquant les stratégies qu’elle a utilisées pour déterminer si la nouvelle était fausse ou réelle. Cette étape encourage la discussion avec les autres participants sur les différentes méthodes utilisées pour analyser les informations. Pour maintenir l’intérêt, les équipes peuvent se poser des questions afin de comparer leurs approches. Cet échange d’idées permettra à chacun d’affiner ses stratégies d’évaluation des informations en ligne et de développer une méthode plus approfondie pour lutter contre les fausses nouvelles.
Les présentations prendront la forme d’une table ronde, garantissant un environnement ouvert et participatif. Ce format permet à tous les membres de l’équipe de s’exprimer, de poser des questions et de contribuer à la conversation. En partageant et en comparant les stratégies, chacun repartira avec une plus grande capacité à évaluer de manière critique les informations trouvées en ligne.
ETAPE QUATRE : Le résultat
Après que chaque équipe a présenté ses résultats et expliqué comment elle est parvenue à ses conclusions sur le document sélectionné, le modérateur de l’activité évalue le travail de chaque équipe. Les points seront attribués en fonction de la qualité de l’analyse, de l’utilisation de sources fiables et de la clarté de la présentation. Des points supplémentaires peuvent être attribués pour l’identification précise du type d’information, comme la désinformation, la désinformation ou les “fake news”.
L’équipe ayant le score le plus élevé à la fin du jeu sera déclarée gagnante et pourra recevoir une petite récompense, telle que des badges ou des certificats, en reconnaissance de sa réussite et de ses efforts. Cet élément de compétition ajoute un facteur d’amusement et de motivation à l’activité, encourageant la participation et l’apprentissage.
Exemple de grille d’évaluation:
Qualité de l’analyse | 5 points |
Utilisation de sources fiables | 5 points |
Clarté de la présentation | 5 points |
Nature de l’information (bonus) | 1 point |
ETAPE CINQ : Charte de bonne conduite
À l’aide des informations recueillies au cours de l’activité, votre équipe va maintenant créer une “charte de bonne conduite” pour naviguer sur les réseaux sociaux lorsqu’elle est confrontée à des informations suspectes qui pourraient être préjudiciables ou manipulatrices. L’objectif est de concevoir un chemin clair et pratique à suivre lorsque l’on est confronté à des informations potentiellement fausses. Ce chemin décrira les étapes à suivre et les points clés à appliquer lorsque vous tombez sur des informations trompeuses en ligne. Une fois que tous les membres de l’équipe ont apporté leurs idées pour la rédaction de la charte, vous pouvez commencer à rédiger les règles de bonne conduite. Une fois le contenu préparé, il est temps de laisser libre cours à votre créativité et de concevoir une affiche attrayante mettant en évidence les principales lignes directrices de votre charte. Pour vous aider à stimuler votre créativité, voici quelques exemples de dessins et de mises en page inspirants à prendre en compte lors de la création de votre affiche. Faites en sorte qu’elle soit visuellement attrayante et facile à suivre afin qu’elle puisse promouvoir efficacement un comportement responsable en ligne :
Pour cet exercice, l’essentiel est que votre charte soit concise, claire et pratique. Veillez à ce qu’elle soit structurée et facile à suivre, avec des étapes concrètes pouvant être appliquées dans des situations de la vie réelle. La mise en page doit être organisée et aérée, avec des images optionnelles pour illustrer vos règles. Pour faciliter le processus de création et le rendre plus attrayant sur le plan visuel, vous pouvez utiliser des outils de conception en ligne tels que Canva. Ce logiciel vous aidera à exploiter votre créativité et à rendre votre charte plus attrayante, ce qui augmentera son impact et sa visibilité lorsqu’elle sera partagée avec d’autres personnes. L’objectif final est de produire une charte qui soit non seulement pratique, mais aussi visuellement frappante, afin qu’elle trouve un écho auprès d’un public plus large. Vous pouvez vous inspirer de modèles déjà créés ou créer votre propre charte ! .
Connaissances | Compétences | Attitude |
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Dans cette WebQuest, l’auto-évaluation consistera à comparer l’analyse initiale reflétée dans le nuage de mots avec la Charte finale créée par votre groupe. Cette comparaison met en évidence l’évolution de votre compréhension et montre à quel point vous avez grandi tout au long du processus. Au début, votre approche des fausses nouvelles était peut-être moins éclairée, mais à la fin, grâce à la discussion, à la collaboration et à une analyse plus approfondie, vos connaissances et votre comportement en matière d’identification et de traitement des fausses nouvelles se sont considérablement développés. Ce parcours d’apprentissage autoguidé, renforcé par le travail d’équipe, révèle tout ce que vous avez appris et comment vos perspectives ont changé au cours de l’activité.
Dans le cadre d’un exercice d’autoréflexion, répondez aux questions suivantes :
- Avez-vous apprécié le déroulement de cette WebQuest ?
- Avant cette activité, que saviez-vous des “fake news” ?
- Avez-vous trouvé que vous en avez appris davantage sur les “fake news” et la responsabilité des médias sociaux grâce à cette WebQuest ?
- Comprenez-vous l’importance d’être responsable en ligne ?
In this WebQuest, self-evaluation will involve comparing the initial analysis reflected in the word cloud with the final Charter that your group created. This comparison highlights the evolution of your understanding, showing how much you’ve grown throughout the process. At the beginning, your approach to fake news may have been less informed, but by the end, through discussion, collaboration, and deeper analysis, your knowledge and behaviour toward identifying and handling fake news have significantly developed. This self-guided learning journey, enhanced by teamwork, reveals how much you’ve learned and how your perspectives have shifted during the activity.
As a self-reflection exercise, answer the following questions:
- Did you enjoy the process of this WebQuest?
- Before this activity, how much did you know about “fake news”?
- Did you find that you learned more about fake news and social media responsibility through this WebQuest?
- Do you understand the importance of being responsible online ?
Félicitations ! Le sujet des fake news n’a plus de secret pour vous. Grâce à votre nouvelle “Charte de bonne conduite”, vous disposez désormais des outils nécessaires pour évaluer les articles, les tweets et les messages en ligne et déterminer s’il s’agit de “fake news” ou de faits véridiques. Et en cas de doute, vous savez comment vérifier l’information.
En appliquant ces bonnes pratiques, vous contribuerez à la construction d’un environnement numérique plus sain et plus responsable. En prenant l’habitude de vérifier les informations avant de les partager, vous contribuerez à réduire la propagation des “fake news” et à limiter les dangers qu’elles peuvent causer. Vous pouvez également promouvoir votre charte dans les écoles, les associations et d’autres organisations, en contribuant à éduquer le public pour qu’il applique ces mêmes principes.
La solution durable pour lutter contre la désinformation réside dans l’éducation des jeunes et des moins jeunes à l’utilisation responsable des médias de masse et des médias sociaux. L’éducation aux médias et à l’information est essentielle pour apprendre à distinguer les informations de qualité des fausses nouvelles. Apprendre aux gens à maîtriser les codes, les langages et les pratiques des médias et des contenus numériques est la clé d’une lutte active et efficace contre la désinformation et la mal-information, en particulier sur des sujets sensibles comme la religion et la foi. Cette activité constitue une étape vers cet objectif.
Propagande contemporain
Propagande contemporain
Faire face à la propagande avec un esprit critique
La propagande est un moyen de diffuser des idées ou des opinions pour tenter d’amener les gens à penser ou à agir d’une certaine manière. Elle est souvent utilisée pour promouvoir un seul point de vue tout en empêchant les gens de voir d’autres côtés ou de penser de manière critique. La propagande peut utiliser des éléments tels que les publicités pour influencer nos choix, nos croyances et même notre comportement.
Aujourd’hui, avec les médias sociaux, les plateformes en ligne et les informations en continu, la propagande est plus subtile et se manifeste dans presque tous les aspects de notre vie. Dans cette WebQuest, vous explorerez le fonctionnement de la propagande moderne, découvrirez les techniques qu’elle utilise et comprendrez son impact sur la société.
Votre mission consiste à rechercher, analyser et créer une présentation sur l’influence de la propagande contemporaine dans le monde d’aujourd’hui. À la fin de votre mission, vous serez en mesure de répondre aux questions suivantes :
- Qu’est-ce que la propagande contemporaine ?
- En quoi diffère-t-elle de la propagande historique ?
- Quelles sont les techniques couramment utilisées aujourd’hui ?
- Qui sont les principaux créateurs et diffuseurs de propagande ?
- Quels sont les effets de la propagande sur la société ?
- Comment reconnaître la propagande et y résister ?
À la fin de cette WebQuest, vous créerez une présentation multimédia à l’aide de divers supports (diaporama, vidéo, infographie, etc.) pour illustrer vos résultats.
Pour mener à bien cette enquête, formez un groupe de 3 à 4 personnes pour vous répartir les tâches et discuter de vos recherches.
Lorsqu’il s’agit de propagande, il est important de faire preuve d’esprit critique. De nos jours, nous pouvons trouver rapidement des réponses en ligne, mais il est toujours essentiel de poser des questions qui n’ont pas toujours une seule bonne réponse. Il s’agit de penser par soi-même, de se forger sa propre opinion et de rester conscient de ce qui est vrai. Travailler et partager des idées avec d’autres permet également de renforcer l’esprit critique.
Etape 1: Comprendre les fondements de la propagande
Recherchez la définition de la propagande et son contexte historique. Veillez à utiliser plusieurs sources dans votre recherche. Vous pouvez également comparer la propagande de différents pays et de différentes époques. Il est important de comprendre la différence entre la propagande, la persuasion et la désinformation. En outre, étudiez des concepts tels que l’influence de groupe, les tactiques de peur, les omissions d’informations, les déclarations flatteuses, les appels aux masses et les témoignages.
la vidéo suivante: https://www.youtube.com/watch?v=34LGPIXvU5M&t=6s&ab_channel=AlJazeeraEnglish
Lisez les articles suivants https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2003-4-page-3.htm
et
https://www.ladn.eu/media-mutants/breve-histoire-propagande
L’étape suivante consiste à rédiger un court paragraphe résumant les principales différences entre la propagande historique et la propagande contemporaine, à illustrer ce texte avec des images d’archives et à assembler le tout dans un projet CANVA sous la forme d’un dépliant. Veuillez utiliser ce lien pour créer votre dépliant
Si vous avez besoin d’aide pour créer votre flyer, n’hésitez pas à consulter ces lignes directrices :
https://www.canva.com/fr_fr/creer/brochures
N’oubliez pas non plus que les illustrations que vous souhaitez insérer dans votre dépliant doivent être libres de droits ; utilisez donc des bases de données en ligne telles que
Etape 2: Analyse des techniques modernes de propagande
Ensuite, vous devez examiner comment les algorithmes des réseaux sociaux, la publicité ciblée et les “bulles de filtre” sont utilisés dans la propagande moderne. Veillez à trouver des exemples récents dans les médias, tels que les campagnes politiques et les stratégies de marketing. Ces articles peuvent vous aider dans votre recherche sur les médias sociaux et la propagande moderne :
Lisez les articles suivants pour en savoir plus sur la façon dont la propagande peut influencer l’opinion publique, par exemple en politique.
https://www.liberties.eu/fr/stories/political-propaganda/43850
Explorez des exemples visuels de propagande sur des plateformes telles qu’Instagram, TikTok ou Twitter. Identifiez les thèmes, symboles et techniques communs
Cette page rassemble de nombreux exemples de messages de propagande sur les médias sociaux :
https://bakersfieldcollege.libguides.com/c.php?g=729002&p=7907565
Vous trouverez ici 2 études de cas de postes de propagande
https://libguides.lib.cwu.edu/c.php?g=625394&p=4391900 – la page est en anglais mais vous pouvez la traduire en cliquant droit avec votre souris.
Votre tâche consiste maintenant à dresser une liste d’au moins cinq techniques de propagande modernes, accompagnée d’exemples concrets de campagnes percutantes qui mettent en évidence ces nouvelles techniques de propagande. N’hésitez pas à faire preuve de créativité !
Etape 3: Identifier les sources de la propagande
Selon vous, qui sont les créateurs et les diffuseurs de propagande les plus célèbres aujourd’hui ? Quelles sont leurs motivations ? Qu’est-ce qu’ils y gagnent ? Prenez en compte les gouvernements, les entreprises et les organisations médiatiques pour orienter vos recherches.
Lisez l’article suivant pour voir comment les médias sociaux peuvent souvent manipuler l’opinion publique
https://lejournal.cnrs.fr/articles/reseaux-sociaux-les-rouages-de-la-manipulation-de-lopinion
Regardez cette vidéo et découvrez comment la propagande informatique et les fausses nouvelles se répandent en ligne.
https://www.youtube.com/watch?v=Lce9s8d5Wvk (la vidéo est en anglais mais vous pouvez activer les sous-titres automatiques proposés par YouTube en français)
Saviez-vous que vous pouvez utiliser des sites de vérification des faits tels que Hoaxbuster, Les Décodeurs ou Factuel pour explorer les cas de désinformation ou de reportage biaisé ? Jetez un coup d’œil à ces articles de vérification des faits.
https://www.ege.fr/actualites/quest-ce-que-le-fact-checking
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.36LK9QA
Sur la base de vos recherches, faites une présentation PowerPoint sur le rôle de deux acteurs clés de votre choix dans la diffusion de la propagande contemporaine.
Gardez à l’esprit les conseils énumérés dans cet article lors de la rédaction de votre présentation :
Etape 4: Évaluer l’impact de la propagande:
Votre tâche suivante consiste à rechercher comment la propagande influence l’opinion publique, le comportement électoral, les choix des consommateurs et les mouvements sociaux. Il existe de nombreux articles sur l’impact psychologique de la propagande au niveau de l’individu, du groupe et de la société. Par exemple, vous pouvez lire cet interview de David Colon, assez clair sur le sujet : https://www.nonfiction.fr/article-10740-la-democratie-a-lepreuve-de-la-propagande.htm
La vidéo suivante explique comment arrêter la propagation de la désinformation en ligne
(n’oubliez pas d’activer les sous-titres pour ne rien perdre du contenu de la video).
Après avoir regardé la vidéo, discutez avec vos camarades de la façon dont la propagande a pu influencer vos propres croyances ou actions.
Après cette discussion, essayez de vous souvenir d’un moment où une campagne ou un événement vous a impressionné. Créez une étude de cas de cette campagne ou de cet événement dans lequel la propagande a joué un rôle crucial, discutez de son impact et rédigez une présentation de cette étude de cas avec les témoignages que vous avez recueillis.
Pour vous aider dans cette démarche, vous pouvez lire l’article suivant qui explique comment rédiger une étude de cas.
https://leadlist.fr/etude-de-cas
Etape 5: Développer des stratégies de résistance à la propagande
Rechercher des stratégies permettant aux individus et aux communautés de reconnaître la propagande et d’y résister. Se concentrer sur l’éducation aux médias, la pensée critique et les techniques de vérification des faits. Vous pouvez commencer par cet article
https://ejusa.org/identifying-propaganda/ (cliquez droit avec votre souris pour traduire automatiquement l’article)
Lisez l’article suivant pour mieux comprendre comment vous pouvez faire face à la propagande et aux “fake news” dans les médias.
https://www.coe.int/fr/web/campaign-free-to-speak-safe-to-learn/dealing-with-propaganda-misinformation-and-fake-news
Explorez les jeux en ligne ou les outils conçus pour enseigner l’éducation aux médias, tels que les modules et le matériel proposés par l’UNESCO.
https://www.unesco.org/mil4teachers/fr/curriculum
Familiarisez-vous avec le test CRAAP, qui est une méthode de vérification des informations sur le web.
Méthode CRAAP : Comment trouver vos références :
Pour finir, créez un guide sur un support numérique de votre choix afin d’identifier la propagande et d’éviter la manipulation. Dans ce guide, mettez en avant les réflexes à avoir lors d’une recherche sur Internet :
Le site est-il fiable ?
Qui est l’auteur ?
Quand l’article a-t-il été publié ?
Votre guide doit souligner l’importance de croiser les sources et de mener des recherches approfondies. L’idée générale de ce guide est de donner des conseils sur la manière de développer l’esprit critique.
Pour cette auto-évaluation, vous pouvez répondre à ces questions seul ou en groupe
Sur la compréhension du sujet
– Est-ce que je comprends les concepts clés de la propagande contemporaine (techniques, objectifs, impact) ?
– Certains concepts me paraissent-ils encore obscurs ?
– Ai-je été capable de trouver des sources pertinentes et fiables pour les tâches de la webquest ?
– Ai-je bien analysé les documents en identifiant les stratégies de propagande ?
Sur la pensée critique
– Ai-je pu distinguer la propagande des simples campagnes de communication ou d’information ? – Ai-je été capable de porter un regard critique sur les exemples étudiés
Sur la participation et l’engagement au sein du groupe
– Ai-je été actif et engagé tout au long de la webquest ?
– Ai-je collaboré efficacement avec mes pairs lors des discussions et des travaux de groupe ?
Sur la synthèse et la production de
– Dans quelle mesure ai-je synthétisé mes recherches pour produire une réflexion claire et structurée ?
– Ai-je pu formuler une conclusion personnelle sur l’impact de la propagande contemporaine ?
Comprendre la propagande contemporaine est essentiel dans un monde où l’information est abondante et constante, mais souvent biaisée et inexacte. En finissant cette WebQuest, vous avez acquis les compétences nécessaires pour analyser de manière critique les messages que vous recevez quotidiennement et devenir un citoyen mieux informé et plus résistant. Rappelez-vous : la meilleure défense contre la propagande est la connaissance, la pensée critique et l’engagement envers la vérité.
Pour conclure, regardez cette courte vidéo sur les techniques de propagande les plus insolites https://www.youtube.com/watch?v=L3kMLyAP33M
Le désordre de l’information
TROUBLES DE L’INFORMATION
Prendre un peu de recul face aux flux d’information
L’omniprésence de l’information dans nos sociétés contemporaines peut parfois submerger les individus. Entre les réseaux sociaux, les applications d’actualités, les podcasts et les médias traditionnels, nous n’avons jamais reçu autant d’information de sources variées. Cela peut parfois donner le tournis ! L’éducation à l’information prend alors tout son sens car dans un océan d’actualités, peuvent se cacher aussi bien des sources responsables que des sources discutables. Il faut apprendre à naviguer et à dompter les flots de l’information.
L’information c’est la délivrance d’un message par un messager à un destinataire. Il y a donc 3 parties prenantes : le messager, le destinataire et le message en lui-même. Plusieurs paramètres sont donc à prendre en compte : quel est la teneur du message ? Les faits énoncés sont-ils vérifiables et confirmés par d’autres sources ? Quelle est l’intention du messager ? Veut-il simplement relayer une information ou amplifier une rumeur ou encore discréditer quelqu’un ? Quelle est sa motivation ? Fournir une information éclairée ou augmenter le tradic vers un site particulier ? Quelle forme prend le message ? Est-ce à prendre au premier degré ou s’agit-il d’une parodie ? Bref, une multitude de questions se pose qui peuvent sembler fastidieuses de prime abord.
Comme votre ami Paul qui a foncé tête baissée et affirmé en classe devant tout le monde que à l’instar des mères qui demandent à leurs enfants de se tenir droit, les mamans gorilles, elles, demandent et éduquent leurs bébés à s’avachir, provoquant l’hilarité générale – y compris celle du professeur ! Quand ce dernier lui a demandé d’où il tenait cette information, Paul, penaud, a répondu qu’il l’avait lu dans le journal. Intrigué, le professeur a fait ses recherches et, lors du cours suivant, il vous a présenté le site satirique The Onion qui propose de faire réfléchir ses lecteurs en leur proposant des actualités satiriques. Tout le monde aurait pu se faire avoir car les informations sont présentées comme dans un journal sérieux et fiable. C’est toute la force de The Onion !
Comprenant que la plupart d’entre vous, au sein de la classe, ne connaissiez pas ce journal, le professeur vous propose de participer à un défi. Il vous demande de créer une campagne en ligne sur les troubles de l’information. Pour cela, le professeur vous demande de créer une série de posts pour Instagram afin de renforcer votre sens critique – et celui des autres – à l’égard des médias et d’encourager le partage responsable d’informations sur les médias sociaux.
Vous décidez tous de relever le défi !
En équipe, vous allez donc créer une série de 10 posts Instagram afin de militer pour que vous et vos paires devenez des consommateurs responsables d’actualités ! Pour cela, vous devrez faire des recherches qui vous apporteront la connaissance théorique dont vous avez besoin pour produire du contenu de qualité. Puis vous choisirez les faits ou méthodes que vous mettrez en lumière ; pour cela, vous vous initierez aux techniques de brainstorming et de résolution des conflits au cas où vous ne soyez pas d’accord sur les thématiques à choisir. Et vous vérifierez vos dires, car quoi de plus gênant que de diffuser de fausses informations dans une campagne destinée à l’éducation aux médias ! Ensuite vous laisserez votre créativité s’exprimer en créant vos posts – ils prendront la forme que vous souhaitez (infographie, poster, photo etc.). Ensuite vous créerez un plan de campagne en réfléchissant à plusieurs choses comme les hashtags à utiliser ou encore le moment le plus propice pour poster vos créations afin qu’elles aient le maximum d’impact possible. Enfin, vous créerez un compte dédié à la campagne et ligne et vous posterez !
Tout ce processus vous permettra de faire travailler votre esprit critique à l’encontre des informations qui circulent notamment sur Internet et d’apprendre à évaluer la crédibilité des sources que vous consultez.
Alors, prêts ?
TACHE 1: Faire des recherches
Afin de créer du contenu de qualité pour les réseaux sociaux, il faut avoir du matériel et des connaissances solides.
Pour cela, vous devez commencer par faire quelques recherches sur ce que sont les troubles de l’information.
Ce premier article va vous éclairer sur les concepts de désinformation, mésinformation et malinformation. Vous y apprendrez également qu’il existe 7 sous-catégories dans la désinformation et la mésinformation.
La boite à outils de l’information – projet veillant à lutter contre la diffusion des intoxs – propose des courtes vidéos sur la désinformation et sa propagation :
https://graphics.france24.com/boite-outils-verification-fact-checking-conseils-video-whatsapp/
Ces deux sources vous ont permis d’appréhender les concepts de désinformation, mésinformation et malinformation. Afin de mieux comprendre les différentes nuances dans les troubles de l’information, vous vous penchez plus en détails sur :
- Le clickbait : https://www.ionos.fr/digitalguide/web-marketing/vendre-sur-internet/quest-ce-qui-se-cache-derriere-le-clickbaiting/
- Le deepfake : https://www.youtube.com/watch?v=WE88bkPt7Uo&ab_channel=Brut
Vous avez maintenant un bon aperçu de la manière dont les informations peuvent être manipulées.
TACHE 2 : Lister les faits que vous voulez mettre en lumière
Vous vous rassemblez maintenant avec les membres de votre équipe et discutez de quels faits mettre en lumière dans votre future campagne en ligne.
Pour commencer, vous devez décider de définir les objectifs à atteindre avec votre campagne en ligne. Pour les finaliser, vous décidez d’utiliser la technique SMART :
https://www.youtube.com/watch?v=oedQn39yDs0&ab_channel=BessonSonia
En ayant en tête les critères de fixation des objectifs, listez maintenant les objectifs que vous souhaitez atteindre.
Puis, discutez avec les membres de votre équipe du contenu de vos posts pour les atteindre. Pour ce faire, vous utiliserez les techniques de brainstorming :
https://asana.com/fr/resources/brainstorming-techniques
Si un conflit émerge, essayez de le résoudre de manière sereine grâce aux techniques de résolution des conflits
https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/gcc-bdm/8etapes-8steps-fra.html
Vous avez maintenant la liste des faits que vous voulez mettre en lumière par vos posts. C’est une grande étape de franchie !
TACHE 3 : Vérifiez les faits
Il faut maintenant vérifier les faits que vous avez choisis ! Pour cela, vous vous renseignez sur l’existence des outils existants pour vous aider :
https://inspe-sciedu.gricad-pages.univ-grenoble-alpes.fr/num/tuto-fact-checking.html
https://www.linkedin.com/advice/0/what-best-tools-methods-fact-checking-information
https://www.youtube.com/watch?v=Oo1erpMWbzE&ab_channel=EFJ%2C%C3%A9coledunouveaujournalisme
La vérification des faits est essentielle car elle permet d’éviter la diffusion de fausses informations, en garantissant que seules des informations exactes et fiables sont partagées. Dans un monde où les fausses nouvelles peuvent se propager rapidement, la vérification des faits renforce la confiance et la crédibilité, ce qui permet de prendre des décisions éclairées sur la base de faits exacts. Elle nous oblige également, nous et les médias, à rendre compte des informations qu’ils diffusent.
Saviez-vous que la vérification des faits encourage également l’esprit critique ? Elle vous apprend à remettre en question les sources et à enquêter sur les affirmations, ce qui vous permet d’adopter une approche plus réfléchie et plus responsable de la consommation d’informations.
TACHE 4 : Créez vos 10 posts
Vous êtes maintenant sûrs de vous et de ce que vous voulez faire passer comme message. Il vous faut maintenant choisir la forme que vos posts Instagram vont prendre. Pour cela, vous vous renseignez un peu sur la bonne stratégie à adopter :
https://www.rgdesign.fr/blog/8-conseils-optimiser-vos-posts-instagram/
https://www.redacteur.com/blog/conseils-redaction-publications-instagram/
Afin de vous aider à créer des graphismes adéquats, vous pouvez utiliser Canva :
Ces petits articles peuvent vous aider dans la création de vos posts : https://www.canva.com/fr_fr/creer/post-instagram/
https://davidbaulande.com/canva-pour-instagram/
N’oubliez pas de bien enregistrer votre travail !
TACHE 5 : Créez votre plan de campagne
Félicitations, vous avez maintenant votre contenu à diffuser. Afin d’atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés avec la méthode SMART, vous devez maintenant élaborer votre plan de campagne. Cela vous servira pour maximiser l’impact de votre contenu. Ce document détaillera votre stratégie et il devra contenir des éléments clés qui assureront la réussite de votre campagne. N’oubliez pas d’y intégrer le calendrier de diffusion ainsi que les hashtags que vous allez créer !
Les sites suivants vous aideront dans la rédaction :
https://editoile.fr/mettre-en-place-un-plan-de-communication-sur-les-reseaux-sociaux/
https://flockler.com/fr/blog/publicite-reseaux-sociaux
https://oscar-black.com/blog/marketing-digital/plan-de-communication-reseaux-sociaux/
TACHE 6 : Postez
Vous voilà prêts à poster ! Pour cela, vous pouvez créer un compte Instagram dédié ! Il vous faut trouver un nom d’utilisateur adéquat :
https://aventuredentrepreneur.com/pseudo-instagram/
Si vous êtes en panne d’inspiration, vous pouvez vous aider d’un générateur en ligne pour vous inspirer :
https://blog.hootsuite.com/fr/idees-de-nom-utilisateur-instagram/
Enfin, pour planifier vos posts et poster au moment choisi, utilisez les outils de planification :
Connaissance | Compétences | Attitudes |
Connaissances de base des différentes formes de troubles de l’information, y compris la satire, le clickbait, le contenu imposteur et les médias manipulés. | Faire preuve d’esprit critique pour identifier les contenus satiriques ou trompeurs. Évaluer la crédibilité des sources en ligne et des articles de presse. | Cultiver le sens de l’éducation aux médias et le scepticisme à l’égard des contenus sensationnels. Encourager le partage responsable d’informations sur les médias sociaux. |
Sur une feuille de papier, répondez aux questions suivantes concernant votre expérience :
- Qu’avez-vous appris ?
- Qu’avez-vous le plus apprécié ? Le moins ?
- Allez-vous réutiliser ce que vous avez appris ?
En groupe, discutez des points que vous avez identifiés ! Si vous deviez faire l’expérience à nouveau, que feriez-vous différemment ?
Félicitations, vous avez terminé la Webquest introductive sur les troubles de l’information ! Vous avez appris comment les informations peuvent être manipulées et savez maintenant comment identifier des sources dignes de confiance !
Vous avez créé une campagne en ligne pour sensibiliser vos paires aux troubles de l’information et avez renforcé vos talents de travail en équipe pour la mener à bien. Vous en savez aussi maintenant plus sur le marketing digital et les élements à mettre en place pour utiliser les réseaux sociaux à des fins de plaidoyer.
Pistes pour le formateur :
Une fois la Webquest terminée, demandez aux participants de résumer leur expérience en un mot. Vous pouvez aussi leur demander de partager les résultats de leur auto-évaluation !
Aborder les privilèges et la diversité dans les médias
Aborder les privilèges et la diversité dans les médias (remettre en question les préjugés des médias, représenter les autres religions, cultures et minorités, et réimaginer les médias).
Réimaginer les médias
Illustration from freepik
De nos jours, les médias, qu’il s’agisse des journaux, de la radio, de la télévision, des réseaux sociaux ou des plateformes en ligne, jouent un rôle considérable dans nos vies. On les appelle même le “quatrième pouvoir” dans le monde politique en raison de leur influence. Mais les médias ne sont pas exempts de problèmes. L’un d’entre eux est la partialité des médias. C’est le cas lorsque les journalistes ou les organes d’information façonnent les articles en fonction de leurs propres points de vue ou intérêts. La partialité des médias peut se manifester de différentes manières et avoir des effets néfastes sur les communautés. Par exemple, il peut conduire à une sous-représentation ou à une représentation erronée, lorsque certains groupes sont montrés de manière stéréotypée ou négative, renforçant ainsi des stéréotypes néfastes. Cela peut également signifier que les préoccupations de ces communautés reçoivent moins d’attention, ce qui fait que des questions importantes ne sont pas mises en lumière et que les inégalités sont renforcées. Lorsque les gens remarquent des préjugés, la confiance dans les médias s’en trouve également ébranlée.
D’un autre côté, il y a ce qu’on appelle le privilège des médias, où certains groupes – généralement ceux qui ont le plus de pouvoir – sont surreprésentés, laissant les autres à l’écart de la conversation. Ce manque de diversité dans les médias fait qu’il est plus difficile pour toutes les voix de se faire entendre.
La partialité des médias et les privilèges créent de graves problèmes pour la société. La diversité des médias, en revanche, est ce que nous devrions viser. Elle est extrêmement importante parce qu’elle montre la véritable variété de personnes et d’expériences dans le monde, contribuant ainsi à briser les stéréotypes et à renforcer la compréhension. Lorsque tout le monde est représenté équitablement, en particulier les communautés marginalisées, cela donne du pouvoir et envoie le message que leur voix compte. En outre, la diversité des médias influence les normes sociales positives et encourage les récits éthiques et équitables. Ce type d’inclusion rend la société plus informée, plus équilibrée et plus inclusive, où chacun se sent vu et valorisé.
Le paysage médiatique d’aujourd’hui est complètement différent de ce qu’il était auparavant, évoluant constamment avec les nouvelles technologies et les nouveaux défis. Pour rester pertinents, les médias doivent continuer à innover tout en préservant la vérité et l’intégrité, ce que tout le monde ne parvient pas à faire.
En petites équipes, vous devrez créer une chaîne YouTube inclusive et diversifiée, axée sur l’actualité mondiale. Chaque groupe commencera par trouver un nom et une mission pour sa chaîne. Cette mission doit mettre en évidence un engagement à représenter équitablement les différentes cultures, sexes, religions et perspectives du monde entier.
Vous devrez également identifier votre public cible et décider des types de vidéos d’actualité que vous souhaitez réaliser, en veillant à couvrir un éventail de sujets et de régions. Vous créerez ensuite un plan éditorial comprenant des informations internationales, des interviews d’experts, une publicité inclusive et des reportages sur des événements majeurs. Les vidéos doivent être informatives et éducatives, tout en restant attrayantes et accessibles aux téléspectateurs.
En équipe, vous produirez quelques vidéos pilotes, présentant l’actualité mondiale sous un angle diversifié et inclusif. Vous apprendrez les bases de la production vidéo : rédaction de scripts, tournage, montage et téléchargement sur YouTube.
Tout au long du processus, vous devrez réfléchir à la manière de rendre votre contenu respectueux et inclusif, en évitant les stéréotypes et les préjugés.
À la fin de l’activité, chaque groupe présentera sa chaîne YouTube aux autres équipes, en exposant sa mission, son public cible, ses types de vidéos et la manière dont il s’est assuré de promouvoir l’inclusion et la diversité. Cette tâche vous aidera à développer des compétences en matière de création de contenu, de travail d’équipe et d’esprit critique, tout en vous sensibilisant à l’importance d’une représentation équitable dans les médias. Il s’agit d’inciter les jeunes à utiliser les médias pour promouvoir la diversité et l’inclusion dans tout ce qu’ils créeront ou consommeront à l’avenir.
PREMIÈRE ÉTAPE: Analyse et sensibilisation
Pour créer des médias véritablement inclusifs qui reflètent la diversité du monde, il est important de commencer par comprendre les concepts de diversité, de privilège et de partialité dans les médias. Pour y voir plus clair, il peut être utile de se poser quelques questions clés :
- Quels types de médias consommez-vous le plus (télévision, réseaux sociaux, journaux, etc.)?
- Y a-t-il eu des moments où certains contenus médiatiques vous ont gêné ou frustré?
Ces questions vous aideront à réfléchir de manière critique à la façon dont les médias peuvent à la fois inclure et exclure différentes voix, et vous guideront dans vos efforts pour représenter un large éventail de perspectives dans vos propres projets médiatiques.
Pour mieux comprendre à quoi ressemblent les médias inclusifs, il est utile de les explorer et de les comparer aux médias qui manquent d’inclusivité. En petits groupes de 3 à 4 personnes, utilisez les exemples de médias fournis pour identifier ceux qui sont inclusifs et ceux qui ne le sont pas. Cet exercice vous aidera à reconnaître les différences dans la manière dont divers médias représentent – ou ne représentent pas – des voix diverses. Voici quelques exemples de médias inclusifs pour commencer :
- Podcast Contre Nature: https://shows.acast.com/contre-nature/episodes
- Campagne de publicité Lacoste “le 9ème couloir”: https://www.youtube.com/watch?v=z1jZdpoEFAU&ab_channel=Lacoste
- La série télévisée Pose créée par Ryan Murphy ; Brad Falchuk et Steven Canals (bande-annonce disponible ici.: https://www.youtube.com/watch?v=bxjmhardILg)
- Le journal The Guardian, avec des articles sur divers sujets, notamment les droits des femmes, la communauté LGBTQ+, les questions raciales et les droits des personnes handicapées, ainsi que des sections spéciales et des séries consacrées à des thèmes tels que les droits des migrants et des réfugiés, l’égalité entre les hommes et les femmes et les questions raciales. (exemple ici: https://www.theguardian.com/commentisfree/2024/oct/08/eu-ursula-von-der-leyen-diversity-recruitment cliquez droit avec votre souris pour traduire le contenu de l’article)
Néanmoins, il existe également des médias qui ne sont pas considérés comme inclusifs et qui n’abordent pas la question de la diversité.:
- La campagne publicitaire “Real Beauty” de Dove a été perçue comme raciste. Explication du sujet: https://www.latrobe.edu.au/news/articles/2017/opinion/dove-real-beauty-and-the-racist-history cliquez droit avec votre souris pour traduire le contenu de l’article.
- La chaîne de télévision Russia today, réputée pour sa propagande russe (https://rsf.org/fr/la-cha%C3%AEne-de-propagande-russe-rt-accessible-en-france-contourner-les-sanctions-europ%C3%A9ennes-s)
En analysant ces exemples, vous pouvez identifier ce qui pose problème et ce qui peut être considéré comme un contenu inclusif et diversifié. Après un examen critique des médias, chaque participant de votre groupe peut réfléchir aux questions suivantes :
- Quels sont les groupes sous-représentés ?
- Quels sont les stéréotypes qui sont renforcés ?
- Comment ce contenu pourrait-il être amélioré ?
À partir de là, votre groupe peut commencer à réfléchir à des idées pour le contenu que vous utiliserez dans votre vidéo. En utilisant les résultats de votre analyse, vous rassemblerez des idées sur la façon de créer des médias qui s’adressent à toutes les communautés (minorités, classes sociales et cultures différentes) et qui les représentent. Dans votre groupe, réfléchissez à la manière de réimaginer les médias de manière plus inclusive et compilez vos idées et observations dans un tableau blanc en ligne.
ETAPE DEUX : Brainstorming
Vous pouvez maintenant commencer à réfléchir à la manière dont vous allez créer vos propres médias. Pour cela, vous pouvez utiliser un outil tel que Miro pour trouver des idées de création de votre propre média.
Cette approche encourage chaque membre du groupe à réfléchir de manière critique aux différents aspects de la création de médias. L’objectif de la séance de brainstorming n’est pas seulement de déterminer comment vous allez créer votre vidéo et quel logiciel vous allez utiliser, mais aussi d’explorer les sujets que vous souhaitez aborder et les formats qui conviennent le mieux à vos idées. Ce processus vous guidera dans l’élaboration d’un plan éditorial, jetant ainsi les bases de votre projet final. Votre contenu doit être inclusif, pertinent et engageant, avec le potentiel d’être partagé sur une plateforme qui atteint et attire un public mondial.
ETAPE TROIS : Le plan éditorial
Cette étape de planification détaillée vous permet de structurer votre projet de manière réfléchie et organisée, en utilisant des outils et des ressources en ligne pour soutenir chaque aspect de votre création médiatique. Ce plan éditorial peut être divisé en plusieurs étapes :
- Le choix du type de support et du format: Comment allez-vous structurer votre vidéo ? Il peut s’agir d’une interview, d’un podcast, d’une vidéo descriptive ou encore d’un reportage sur un sujet d’actualité.
- Le choix de la communauté représentée: Dans votre groupe, identifiez les communautés que vous souhaitez inclure et la manière dont vous les représenterez de manière authentique et respectueuse. Vous pouvez consulter des ressources sur la représentation équitable et la diversité, telles que :
- Médias et diversité: promouvoir l’accès des minorités aux médias : les prochaines étapes
- La diversité des médias
- Les moyens de promotion: Pour plus de facilité et d’efficacité, votre vidéo sera téléchargée sur Youtube. C’est l’un des meilleurs moyens de communiquer avec un large public, qu’il s’agisse de promouvoir des programmes ou de fournir des informations à un large public. De plus, une vidéo YouTube peut être téléchargée et publiée sur diverses plateformes de réseaux sociaux, ce qui permet d’augmenter le nombre de spectateurs.
- Le choix du contenu (scénario ou story-board)): Pour les projets visuels ou audio, vous pouvez créer des story-boards ou écrire des scénarios pour clarifier votre vision et planifier chaque étape de la production. Pour ce faire, pourquoi ne pas utiliser les outils en ligne suivants.
- Storyboard
- Meilleurs sites Web d’écriture de scénario
- La planification des ressources: Ensuite, vous devrez identifier les ressources nécessaires à la réalisation de votre projet. Vous devez planifier la manière d’obtenir et d’utiliser ces ressources de manière efficace.
Une fois que vous avez pensé à tout et que vous avez tout organisé, il est temps de passer à la production de vos médias. Un plan éditorial bien structuré améliorera l’efficacité, la cohérence et l’impact de votre contenu. Grâce à ces trois premières étapes, vous commencez à vous familiariser avec l’importance de remettre en question la partialité des médias, de reconnaître les privilèges et, bien sûr, de réimaginer les médias.
ETAPE QUATRE : Production du contenu
Maintenant que vous avez réfléchi à vos supports et que vous savez ce qu’il faut faire et ne pas faire avec les supports, il est temps de faire preuve de créativité. Une fois que vous et votre groupe avez choisi le format de votre vidéo et écrit le scénario, il est temps de tourner. Alors ACTION !
Selon le format que vous avez choisi pour votre vidéo, vous devrez préparer votre équipement et le scénario que vous avez imaginé à l’étape précédente.
Pour les entretiens, une application telle que Google Meet, Microsoft Teams ou Zoom vous permettra d’interroger des personnes sans qu’elles soient dans la même pièce que vous. Vous pouvez faire des captures d’écran vidéo (avec le consentement de la personne interrogée, bien entendu). Au préalable, assurez-vous d’avoir étudié le sujet et la personne interviewée afin de pouvoir poser des questions pertinentes et éclairées, puis préparez une liste de questions ouvertes pour encourager des réponses détaillées.
Pour les reportages télévisés, si vous souhaitez vous filmer ou filmer les membres de votre groupe, vous pouvez utiliser les fonctions vidéo de votre ordinateur ou de votre smartphone. Avant toute séance de production, vous devez veiller à rassembler des informations précises et factuelles sur le sujet du reportage. Pour tirer le meilleur parti de ce type de format, vous devez veiller à suivre le scénario détaillé du journal télévisé que vous avez réalisé auparavant, y compris les séquences d’information, les images et les reportages. Pour améliorer votre technique de tournage, vous pouvez utiliser un prompteur pour lire efficacement le texte tout en regardant l’axe de la caméra.
Pour les reportages imaginaires ou les podcasts, vous pouvez utiliser des applications d’enregistrement vocal. Veillez toujours à choisir un sujet intéressant. Un plus dans ce type de format serait d’inviter des experts ou des personnes ayant une expérience pertinente à partager, si c’est possible.
Une fois le contenu filmé, il est temps de passer au montage des vidéos afin qu’elles soient produites de la meilleure façon possible et qu’elles attirent le plus grand nombre de personnes possible. Le montage est une étape cruciale de la production de contenu. Il permet en effet de transformer des images brutes en un produit fini et professionnel.
ETAPE CINQ : Montage du contenu
Pour commencer, il est important de choisir une plateforme de montage vidéo en ligne qui vous aidera à affiner et à améliorer vos séquences. Il existe plusieurs applications et outils conviviaux qui offrent un large éventail de fonctionnalités et vous permettent de rendre vos vidéos plus attrayantes, plus séduisantes et plus accrocheuses. Ces outils peuvent vous aider à ajouter des effets, des transitions, du texte et d’autres éléments créatifs pour que votre contenu se démarque et capte l’attention de votre public.
Pour simplifier les choses, commencez par importer et organiser vos fichiers vidéo, audio et graphiques dans des dossiers spécifiques afin d’y accéder facilement. Disposez ensuite vos séquences sur la ligne de temps dans l’ordre souhaité, en supprimant les parties inutiles et en veillant à ce que les séquences soient fluides. Ajoutez des transitions entre les clips pour une meilleure fluidité et incluez des effets spéciaux tels que des ralentis ou des ajustements de vitesse si nécessaire. Les titres et sous-titres peuvent aider à introduire des segments ou à mettre en évidence des points clés. L’utilisation d’un logiciel comme Canva pour créer des graphiques accrocheurs est un excellent moyen de représenter visuellement ce qui est expliqué dans la vidéo, ce qui la rend plus attrayante et plus claire.
De même, vous pouvez améliorer votre vidéo en y ajoutant des graphiques et des animations pour rendre le contenu plus attrayant sur le plan visuel. Il est important d’utiliser des images libres de droits pour éviter tout problème juridique. Plusieurs sites web proposent ce type d’images, comme Unsplash, Pexels et Pixabay, que vous pouvez explorer à cette fin.
Une fois que vous avez ajouté tous les éléments, revoyez le montage final pour vérifier qu’il n’y a pas d’erreurs ou de points à améliorer. Après avoir apporté les corrections nécessaires, discutez de la vidéo avec votre équipe pour vous assurer que tout le monde est satisfait du résultat et qu’il correspond à la vision de votre projet. Ce processus minutieux vous permettra de produire une vidéo de haute qualité, prête à être diffusée.
ETAPE SIX : Publication du contenu
La distribution du contenu est l’étape finale, au cours de laquelle votre vidéo éditée est prête à être partagée avec le public. Le choix de la bonne plateforme est crucial et, dans ce cas, YouTube sera l’option préférée pour atteindre le plus grand nombre.
Un compte YouTube sera déjà créé par le modérateur de l’activité, vous n’aurez donc pas besoin d’en créer un. Votre tâche consistera à télécharger votre vidéo sur YouTube, afin de la rendre accessible aux spectateurs du monde entier. Pour vous assurer que tout se passe bien, vous pouvez suivre les tutoriels fournis pour obtenir des conseils sur la manière de télécharger et de publier efficacement votre vidéo/
L’un des avantages de Youtube est que des milliards de personnes utilisent cette application. De plus, une vidéo peut être facilement republiée sur d’autres réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram et d’autres, ce qui peut avoir un impact énorme sur le monde.
Une fois votre vidéo publiée, le monde sera témoin d’un nouveau regard sur les médias, réimaginé par vous et votre groupe !
ETAPE SEPT : Retours généraux
C’est maintenant au tour du groupe de donner son avis ! Chaque équipe présentera sa vidéo aux autres groupes, et chacun aura l’occasion de faire part de ses réflexions et de ses opinions. Cette session de feedback vous aidera à réfléchir à votre travail et à voir comment les autres perçoivent vos idées.
Connaissances | Compétences | Attitude |
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Dans le cadre de cette webquest, votre auto-évaluation consistera à remettre en question de manière critique les médias actuels et leur traitement des diverses communautés, en identifiant les privilégiés et les laissés-pour-compte. L’activité “Réimaginer les médias” a atteint ses objectifs en encourageant la créativité, l’inclusion et le développement des compétences. Vous avez non seulement développé des compétences importantes, mais aussi produit un contenu médiatique diversifié et inclusif, reflétant une représentation plus équitable de toutes les communautés.
Comme méthode d’autoréflexion, répondez aux questions suivantes:
- Avez-vous apprécié l’activité présentée dans cette WebQuest ?
- Aviez-vous des connaissances sur les privilèges et la diversité dans les médias avant de réaliser cette activité ?
- Si ce n’est pas le cas, avez-vous découvert ce que sont les préjugés et les privilèges dans les médias ?
- Avez-vous compris l’importance de la représentation des diverses communautés dans les médias ?
- Avez-vous le sentiment d’avoir acquis de nouvelles compétences en matière de production, d’édition de contenu ?
Félicitations, vous êtes désormais un journaliste de demain ! Vous êtes prêt à aborder sans crainte tous les sujets, même les plus sensibles comme la représentation des différentes religions, cultures et minorités.
Grâce à cette activité, vous contribuez à un paysage médiatique plus sain et plus diversifié. Votre vidéo, qui peut être facilement partagée, contribuera à sensibiliser le public à la diversité des communautés. En offrant un éventail de contenus aux téléspectateurs, vous contribuez également à réduire les préjugés et les privilèges des médias, ce qui les rend plus inclusifs pour tous.
Financé par l’Union européenne. Les points de vue et opinions exprimés n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux de l’Union européenne ou de l’Agence exécutive européenne pour l’éducation et la culture (EACEA). Ni l’Union européenne ni l’EACEA ne peuvent en être tenues pour responsables. Numéro de projet : 2022-2-IE01-KA220-YOU-000099163